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Groupe Géotec, de plus en plus leader français de la géotechnique depuis Dijon

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Le groupe Géotec rassemble neuf activités dont la géotechnique, le maritime et l'exploration, qui couvrent tous les métiers de l’ingénierie du sol et des structures. ©Erolf

Avec un effectif de 900 collaborateurs et un chiffre d’affaires qui dépasse désormais la barre des 100 millions d’euros à la faveur de ses dernières croissances externes et de sa progression organique, Géotec consolide sa position de leader de la géotechnique, l’étude des sols avant construction des bâtiments, des lignes ferroviaires, des ponts, des éoliennes... Olivier Barnoud, le président du groupe siégeant à Quétigny à côté de Dijon (Côte-d'Or), en retrace les dernières avancées, dont une nouvelle acquisition dans le Sud de la France.


Quelle nouvelle dimension a pris l'entreprise depuis sa création il y a un demi-siècle ?


Mon père François Barnoud a effectivement fondé Géotec en 1973, l'entreprise ayant été reprise en 2016 par mon frère, Frédéric et moi-même. Basé à Quetigny, près de Dijon, le groupe suit année après année une trajectoire de croissance forte en rachetant des entreprises sur des métiers connexes ou sur des secteurs géographiques qui ne sont pas encore couverts.
Aujourd’hui, nous comptons neuf activités : Géotechnique, Maritime, Environnement, Diagnostic Structure, Risques Naturels, Géothermie, Géophysique, Exploration et Route. Nous couvrons ainsi tous les métiers de l’ingénierie du sol et des structures.
Avec 900 collaborateurs dont plus de 300 ingénieurs et près de 400 techniciens, nous réalisons un chiffre d’affaires dépassant les 104 millions d’euros, représentant une progression de 65% en cinq ans.

La stratégie de rachats se poursuit-elle ?


Dans le cadre de notre croissance, nous poursuivons deux axes de diversification : celle de nos activités et la diversification géographique.
C’est dans le cadre de cette dernière que nous avons acquis, en mars dernier, la société Sefab qui compte une quinzaine de salariés et réalise un chiffre d’affaires de 2,5 millions d’euros. Elle est basée à côté de Nice (Alpes-Maritimes), un territoire sur lequel nous n'étions pas encore présents. Le groupe poursuit ainsi son développement en offrant toutes les compétences liées au sol et à l’eau partout en France, et même au-delà. Nous sommes implantés sur une vingtaine de sites en métropole ainsi que dans les territoires ultramarins (Nouvelle-Calédonie, Guyane, La Réunion, Mayotte) mais aussi en Belgique, Italie, Sénégal, Côte-d’Ivoire et Guinée.


Quelle est la vocation de la Fondation Géotec ?


Nous avons débuté le mécénat par le soutien dans le domaine de l’art contemporain à partir de 2006 en constituant une collection de tableaux d’artistes vivants. C’était la passion de notre père. A son décès, nous nous sommes posés la question de poursuivre cette action. Au lieu d’investir dans des oeuvres, nous avons décidé de créer une fondation dans le but de soutenir des projets à hauteur de 150.000 euros par an.


Nous avons constitué un comité exécutif avec des salariés et des personnalités extérieures, qui décide des projets et associations soutenues. A l’occasion d’appels à projets, nous recevons entre 50 et 100 dossiers de candidature et nous en sélectionnons entre 10 et 15. Nos trois axes de soutien sont l’aide aux populations d’Afrique de l’Ouest (accès à l’eau, assainissement…), l’insertion des personnes en difficulté en France (autour du handicap) et la lutte contre le réchauffement climatique.
 

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Olivier Barnoud, président de Géotec.
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​Géotec est aussi présent dans les territoires ultramarins (Nouvelle-Calédonie, Guyane, La Réunion, Mayotte).